a très bientôt
cordialement
Guy Jacquemelle
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ou vous pouvez poster directement un commentaire suite aux messages ci-dessous.
lundi 30 juin 2008
Jeanne reçoit son premier mail

Nous nous étions perdus de vue depuis 2 ou 3 ans, mais avons repris contact grâce à facebook. Il a envoyé ce weekend un message à Jeanne qui s’est empressée de me le faire suivre. Nul n'est besoin d'indiquer que ce premier mail qu'elle reçoit l'a beaucoup, beaucoup touchée.
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Ma chère Jeanne,
En préambule, tu m’excuseras le tutoiement, et cette légère familiarité, mais connaissant ton géniteur, il m’est difficile de prendre plus de distance... Il me paraissait également plus simple de t'écrire directement ...
Il n'est pas dans mes habitudes non plus de flatter les personnes, mais là, tu m'as bluffé, et je ne peux m'empêcher de prendre mon plus beau clavier pour te lancer quelques fleurs...
J'avais commencé
Ce week-end end, j'ai eu envie de te connaître un peu plus ...
Je n'irai pas par quatre chemins : j' ai parcouru tes quelques mois passés à Paris en à peine 48 heures, ayant eu cette agréable impression qu'il me fallait toujours aller plus loin dans ces pages pour te connaître davantage, et découvrir peu à peu tout ce qui allait t'arriver.
J'ai été touché par ta volonté sans faille, sensible à tous ces portraits hauts en couleur, ces descriptions d'un Paris où se mêlent l'authentique et le superficiel, souriant de ta découverte d'un milieu où l'on préfère être vu et écouté, et où l'enjeu du paraître dépasse bien souvent celui de l'être ...
Merci donc de m’avoir permis de te rencontrer, ne change surtout pas, et à bientôt peut-être, sait-on jamais ?
Amitiés
Vincent
En savoir plus :
dimanche 29 juin 2008
La sandale rouge "is back"

Un immense merci d'avoir acheté la première édition de la Sandale rouge.
La nouvelle édition est disponible depuis une dizaine de jours. Merci à tous pour votre soutien, et pour le buzz que vous créez autour de ce premier roman.
Je vous souhaite à toutes et à tous un très bel été.
A très bientôt.
Amicalement.
Guy
jeudi 19 juin 2008
2000
Les 6 clips réalisés par Jean-Christophe (avec l’aide de Nathalie, Alexandre et Catherine) pour faire connaître
Si vous ne les avez pas vus ou si vous souhaitez les revoir, c'est ici, ou sur le côté droit du blog.
lundi 16 juin 2008
Les mots de Colin

Exposition en 2007 au Siège social de Réseau Ferré de France, Avenue de France, Paris 13ème
Colin a lu La Sandale rouge et m'a envoyé ce message :
« J'ai lu La Sandale rouge d'une traite, un samedi après midi. Ce fut un bel après midi. D'abord teinté d'humour. Le regard de Jeanne sur les petits et grands moments ( surtout les petits, épicés de mille mesquineries et médiocrités ) de la vie des médias et autres décideurs parisiens est parfois étonné, souvent drôle, jamais cynique.
dimanche 15 juin 2008
200 à l'heure

Sur la vitesse, Françoise Sagan écrivait : «Elle aplatit les platanes au long des routes, elle allonge et distord les lettres lumineuses des postes à essence, la nuit, elle bâillonne les cris des pneus devenus muets d'attention tout à coup, elle décoiffe aussi les chagrins : on a beau être fou d'amour, en vain, on l'est moins à 200 à l'heure».
En cent-vingt minutes chrono, Diane Kurys nous offre un film décoiffant sur Sagan trop injustement snobé par la critique. Il suffisait de voir, ce matin, à la séance de 11 heures, boulevard Saint-Germain, les spectateurs restant assis dans leur siège, alors que les lumières s’étaient déjà rallumées depuis plus d’une minute pour comprendre qu’ils étaient bouleversés par «ce charmant petit monstre » imprévisible, extravagant, drogué, sensible, blessé, ruiné, si seul …
Sylvie Testud y est exceptionnelle. Elle n’interprète pas Sagan, elle est Sagan. Elle campe avec une incroyable justesse sa diction et ses mimiques, son élégance, son extravagance, sa désinvolture, sa solitude, aussi.
Sagan est aussi un film qui donne envie de lire ou relire : Bonjour tristesse , Aimez vous Brahms ?, la Chamade, Avec mon meilleur souvenir ... Car quoi qu'on en dise, un film-hommage tel que celui-ci a aussi cette vertu !
J’ai eu la chance en 1998, à l’Ecole la Rochefoucauld , où notre fille était scolarisée de faire une signature à ses côtés. Je me souviendrai toujours de ses mots saccadés qu’elle lançait à la vitesse d‘une mitraillette. A la fin de la signature, j’ai acheté Le Miroir égaré qu’elle a dédicacé à mon épouse. Elle y a écrit ces quelques mots : « A Michèle, en la remerciant de m’avoir prêté son mari, pendant une heure».
La lassitude, la mélancolie et les blessures de la vie n'avaient pas réussi à étouffer sa légéreté et son humour.
En savoir plus
Bonjour Tristesse sur alalettre
Hommage à Françoise Sagan morte le 24 septembre 2004
Sagan, le film de Diane Kurys avec Sylvie Testud
jeudi 12 juin 2008
Providence

Providence , le dernier roman de Valérie Tong Cuong est un de mes coups de coeur 2008. Il m'a permis d'échanger de longs messages avec cette grande romancière. Puis l'auteur de Noir Dehors m'a annoncé , il y a quelques semaines, qu'elle allait lire
Elle m'en a fait cette semaine un retour à la fois très chaleureux et aussi très franc. Nous continuons, depuis, d'échanger sur la grande aventure d'un premier roman. J'ai ainsi la chance inouïe de bénéficier de beaux conseils que je note précieusement pour l'écriture du second.
Avec son accord, je publie sur ce blog le billet qu'elle m'a adressé :
« J'ai enfin trouvé le temps de lire
Cependant le style est à mon avis trop descriptif, et on se perd parfois dans des détails secondaires ou des "histoires dans l'histoire," à un moment en plus où on n'est pas encore dans l'émotionnel avec l'héroïne. J'ai mis du coup un certain temps à "rentrer" dans le roman. La première partie, à mon sens, aurait dû être nettement resserrée et pour être franche, les premiers chapitres me semblaient un peu longs...
Par contre, une fois passé ce stade, là, c'est parti, à fond et je ne lâchais plus le livre, pressée de connaître le dénouement . Vous avez l'imagination, la construction, une belle écriture : bravo donc ! C'est ce qui fait... un auteur ».
Le blog de Valérie Tong Cuong
La revue de presse de Providence
lundi 9 juin 2008
Le message de Sarah

Sarah partage sa vie entre l’Espagne et
Sarah m’a adressé le week-end dernier un message sur
Quand je lui ai demandé une photo pour illustrer ce petit article, elle m’a envoyé celle-ci. Elle me fait penser à la fois à Out of Africa et à
Je vous félicite vraiment pour l'écriture de ce livre, qui entre en très bonne place dans mon "Top 10" des meilleurs livres de 2008! A quand le prochain roman? ! »
vendredi 6 juin 2008
La critique de Clarabel

Clarabel est la Norma Jean Baker des blogs littéraires. Elle se définit elle-même comme une "passeuse d'enthousiasme" . Derrière ce nom, en forme de clin d'œil et la photo de Marilyn Monroe, se cache une lectrice passionnée .
Clarabel nous accueille sur son blog avec quelques mots de Vanessa Paradis : Les mots sont. Les mots font. Les mots disent. Les mots coulent. Les mots roulent sur un fil...
Clarabel est aussi commentateur N°1 sur amazon.fr ( plus de 2000 critiques publiées). Elle a lu la Sandale rouge et en a rendu compte sur son blog et sur Amazon.fr. Avec son autorisation, j'en publie un extrait :
"Ce roman signé de Guy Jacquemelle a su me rappeler celui de Tatiana de Rosnay, Moka (qui évoquait la couleur du véhicule en fuite, responsable d'avoir renversé le fils de la narratrice). La sandale rouge est, ici, le seul détail existant et qui prouve qu'un accident a eu lieu, malgré les efforts pour effacer son passage. La suite est une succession de doutes, de but presque atteint, d'espoir insensé et d'énormes déconfitures. L'histoire raconte l'ascension et la descente en enfer d'une jeune femme qui ne cherche pas à devenir justicière, simplement elle nourrit pour son métier de journaliste une véritable passion et une motivation assez naïve, celle d'être juste, de mener jusqu'au bout son article, malgré les pressions et l'onde de choc. Ce n'est pas une quête du sensationnalisme, on comprend vite que tout dépasse cette jeune provinciale à qui le succès toque à sa porte, avec en prime l'amour et les risques du métier.
Le roman est un tout-en-un : l'intrigue est à la fois policière, sentimentale et psychologique ; c'est également un roman d'apprentissage, une plongée dans les coulisses du pouvoir, dévoilant les pièges de la manipulation et de la duperie. Et enfin, on y trouve un portrait de femme juste et touchant. Bref, un roman très prenant, écrit au mode du présent".