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Guy Jacquemelle
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vendredi 25 avril 2008
Noël en avril
J’ai reçu, par
Ce roman est un bonheur et un coup de poing. Il est, comme sa très belle couverture, lumineux et sombre à la fois. Voici le papier que je viens de mettre en ligne sur alalettre.com
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Un seul conseil à vous qui allez ouvrir
Pascaline Malon, informaticienne de quarante ans, a décidé de donner un nouvel élan à sa vie de femme divorcée. Elle loue un deux-pièces calme et clair. Le souvenir de Fréderic, son ancien mari, est encore très présent, mais Pascaline est une battante et semble décidée à tourner la page.
Mais très rapidement, elle ressent des ondes négatives dans cet appartement. Elle apprend qu'un crime odieux a été commis par un serial killer dans cette chambre qui est maintenant la sienne. Pascaline est traumatisée par ce drame. Elle recherche des informations sur ce tueur en série, sur Anna, la victime, et sur toutes celles qui ont subi, ensuite, le même sort qu'elle. Peu à peu sa vie bascule. Une blessure secrète resurgit. Pascaline n'écoute plus ceux qui souhaitent l'aider, elle se coupe progressivement du monde.
Ce roman, écrit à la première personne, nous plonge au plus profond des secrets de cette héroïne qu'on aimerait tant protéger. Et on assiste, impuissant, à cette ronde frénétique dans laquelle Pascaline se lance à corps perdu. Les petites lumières s'éteignent les unes après les autres. N'y a-t-il d'autre issue que cette nuit noire qui progressivement l'ensevelit ?
Comme dans tous les romans de Tatiana de Rosnay, il est des scènes qui resteront à jamais gravées dans votre mémoire : ce plafond sous lequel Pascaline s'abandonne, malgré elle, à un amant qu'elle ne désire pas ; la soirée où Fréderic regarde un match de football à la télé, tandis que Pascaline préfère aller au cinéma ; cette marche autour de la prison de la santé, où l'héroïne trace une frontière invisible entre le criminel et ceux qu'elle aime …
A ceux qui pensaient que les murs n'ont que des oreilles, Tatiana de Rosnay démontre de la plus belle façon qui soit, qu'ils ont aussi une mémoire.
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Une superbe préface
Tatiana de Rosnay évoque également, dans une superbe préface, le lien impalpable entre
Dès qu’elle eut fini
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